L’existence du droit à l’emploi impacte positivement la société, les territoires et les personnes ayant subi la privation durable d’emploi.
Les personnes qui retrouvent un emploi réintègrent la société dont elles avaient été exclues : elles gagnent non seulement en niveau de revenus mais aussi en sécurité. Elles se sentent de nouveau utiles et valorisées et reprennent peu à peu confiance en elles et en la société. Le projet lutte également contre les préjugés à propos des personnes privées d’emploi en montrant qu’elles peuvent et souhaitent travailler si un emploi adapté à leurs savoir-faire leur est proposé.
En créant des emplois supplémentaires, le projet révèle aussi une main d’œuvre disponible sur les territoires qui produit de nouvelles richesses. De plus, les activités développées sont utiles car elles concernent notamment la cohésion sociale, la lutte contre l’exclusion, la transition écologique ou encore le développement du tissu économique local.
Enfin, le projet repose sur une logique de financement propre : l’activation des dépenses passives. Les budgets publics consacrés à la perte d’emploi sont redirigés pour financer la création d’emploi. C’est donc une utilisation vertueuse de l’argent public pour l’ensemble de la société qui est proposée.
C’est pour donner à voir ces externalités positives du projet, au delà de la création d’emplois, que l’association TZCLD a initié la création de l’Observatoire de TZCLD.
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